Il est pas con, ce con ?

IPCC

252 pages, 13,5 x 19 cm

Marseille.

Gustave a pris sa retraite. Il travaillait à la gare de Saint-Marcel.

C’est un homme placide, sans histoires. Mais il ne faut pas l’emmerder.

Pour s’y être essayé, un certain Carbonatti, par ailleurs fan de feu Claude François, gagnera le surnom original de « Tronche de mortadelle ». A titre posthume.

Cet ouvrage se lit en grignotant quelques canistrellis, les pieds chaussés d’imitations approximatives mais confortables de chaussures de sport qui, par la grâce de LEDS artistement disposées, font de chaque pas un petit Noël.

Vous comprendrez quand vous aurez lu.

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Une pensée sur “Il est pas con, ce con ?

  1. Issu de Babelio : https://www.babelio.com/livres/Gobi-Le-Chemin-des-Prud-Hommes/970228#critiques

    Nath2dragui 01 septembre 2017
    Nouvelle parenthèse de vie dans le quartier du Bar de la Sidérurgie (Marseille, 10ème. arr.).
    Cette fois le méchant c’est Carbonatti mais il ne fera pas long feu face à Gustave et sa locomotive.
    Et puis toujours la solidarité des « attachés », leur générosité (canistrelli, naïque…), les parties de pétanque et de contrée (rien à envier à celle de Pagnol au Bar de la Marine), l’amour cru ou tout court, les belles-voitures entretenues par Edmond (R17, 204 brèque, Jaguar MK2…), le parler-marseillais qui est « bien plus compliqué que le chinois » (p. 222)
    Le nouvel ami est Léopold-Ferdinand Ducuteaux (dit « Ducu »), courtier en art. Avec ce personnage néanmoins sympathique, l’auteur dépeint à l’acide le monde de l’Art contemporain : truculentissime !

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